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Ni Droite, Ni Gauche, Français...

11 mars 2007

Quel chef d'Etat pour demain ? (Ignace)

ATT00122YVES1

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11 mars 2007

Encore plus loin dans la démagogie

mspDécidément, il sera dit que ce mois de mars 2007 sera tout particulièrement marqué par une avalanche de tout azimuts de propos démagogiques et mensongers en vue des élections présidentielles.

Les Français sont saturés de toutes ces duperies à des fins électorales et en font une véritable overdose. Ce triste théâtre ne convainc quasiment plus le peuple Français qui aspire à un changement profond et véritable et ce sans concession. La France glisse vers la catastrophe et les Français sont inquiets. Force est de constater que nos politiciens sont les champions du Monde dans les rubriques mensonges, calomnies, duperies et démagogie.

Il faut bien avouer que nos politiciens, qu’ils soient de droite ou de gauche, n’ont plus rien à proposer aux Français dans le domaine de la gouvernance du pays : à l’heure actuelle existe-t-il réellement un véritable projet politique et social cohérent, sérieux pour la France et les Français ?

Certes non. Seule la droite nationale représente sur l’échiquier politique une ouverture réelle salutaire et constructive.

Le Mouvement des Jeunes Patriotes dénonce avec force la vraie démagogie et les fausses promesses politiques qui ont entraînés les travailleurs, la jeunesse et le peuple Français à la banqueroute économique et à la misère sociale.

La société française adore décerner décorations et trophées à toutes sortes de personnalités. Nous, les Jeunes Patriotes, nous offrons la palme d’or de la démagogie de la « république bananière » à quatre champions : Olivier Besancenot, François Bayrou, Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy.

imagesEn effet, n’avons-nous pas entendu un journaliste de France 5 décrire Olivier Besancenot comme « un sympathique tintin » ?

Si ce « sympathique tintin » peut séduire les vedettes shows de la télévision, il n’en demeure pas moins qu’Olivier Besancenot propose dans son programme la suppression et de la Brigade Anti-Criminalité (BAC) et de la police municipale. Il réclame aussi leur désarmement et l’amnistie générale des émeutiers des banlieues d’octobre 2005.

Les Français, surtout ceux qui ont été victimes de ces émeutes apprécieront. Cette démagogie est outrageante, vide de sens, anti-populaire et anti-nationale.

De plus, « tintin au pays des soviets » est tellement convaincu de l’action de sa révolution rouge qu’il est arrivé à faire interdire de plateau Alain Soral qui devait débattre avec lui en direct dans une émission animé par Serge Moati.

Si, le facteur de Neuilly où vit Nicolas Sarkozy ne souhaitait pas débattre avec Alain Soral en direct, ne soyons pas dupes, Besancenot savait pertinemment qu’il ne ferait pas le poids face au discours de ce brillant écrivain réaliste et visionnaire.

Il est tout de même assez grotesque de constater que la direction de France 5 a purement et simplement accepté ce dictat bafouant ainsi les règles les plus élémentaires de la démocratie et de la liberté d’expression. Cet impact du « fascisme rouge » est édifiant et nous laissons au peuple Français le soin d’en tirer les conclusions.

Toutefois, nous persistons et nous signons : la palme d’or revient « à celui qui fait du Le Pen sans en faire » à savoir Nicolas Sarkozy, le frère jumeau du vicomte de la Vendée, nommé aussi dans l’intimité le « fou du puy ». Notons que Nicolas Sarkozy, intégration oblige, n’a pas hésité à inclure dans son équipe de campagne Mme Aziza Bahloul qui aura la noble fonction de « parler de la campagne de Nicolas Sarkozy en Arabe ».

Est-il utile de rappeler que Nicolas Sarkozy est l’homme politique qui a officialisé le Conseil du culte Musulman de France, la mise en application de la discrimination positive, la suppression de la double peine pour les délinquants étrangers, la récente régularisation des sans-papiers et la mise en application de l’immigration choisie.

Les Français ne douteront pas de la sincérité de Nicolas Sarkozy lorsqu’il affirme qu’il veut rétablir les principes de l’unité de la République laïque Française. Mais de qui se moque-t-on ?

Plus fermement, nous dénonçons la nullité intellectuelle des débats politiques pour cette élection présidentielle tant du côté des journalistes que du côté des politiciens.

Plus que jamais la France à besoin d’un Chef d’Etat pour redresser la Nation Française.

Désormais, il devient urgent, pour la France et les Français d’enclencher une troisième voie sociale, populaire et patriotique.

Camarades, rejoignez le camp de la résistance nationale et engagez-vous pour militer pour un avenir meilleur et plus juste au sein de la France et écraser du pied la tête du serpent venimeux du Nouvel Ordre Mondial !

Mouvement Social et Patriotique

9 mars 2007

François Bayrou et l’identité nationale

marianne1Communiqué de presse de Jean-Marie LE PEN

Nicolas Sarkozy
, faisant une petite opération de racolage sur les terres du Front national, promet un « ministère de l’Immigration et de l’Identité nationale ».

François Bayrou, en compagnie de SOS Racisme et de la Ligue des droits de l’homme, s’insurge contre un tel intitulé.

Selon François Bayrou, qui tout-à-coup retrouve l’intérêt des frontières, mais seulement quand elles sont idéologiques, ce serait franchir une intangible frontière que d’associer immigration et identité nationale.

Autrement dit il serait interdit de penser que l’immigration puisse porter atteinte à l’identité nationale, alors que l’histoire et l’actualité nous montrent qu’il s’agit d’une terrible réalité. Et il serait interdit de penser que le devoir des immigrés est de se fondre dans l’identité nationale.

Les citoyens français se souviendront que François Bayrou est hostile à la souveraineté de la France au point de passer son identité par profits et pertes.

9 mars 2007

Populisme de gauche… - Le couple Hollande-Royal

Mon compagnon n’aime pas les riches”.. (Ségolène Royal)

Je ne vais pas à Deauville parce que c’est une ville de riches” (Ségolène Royal)

Or voici les revenus purement salariaux (hors revenus du patrimoine immobilier, financier ou autre) du couple Royal/Hollande

segolene_rSégolène Royal
-Présidente de Conseil Régional Poitou-Charentes
-Députée des Deux-Sèvres

indemnité parlementaire :5.257,58 Euros mensuels ou 34487,46 Frs mensuels
indemnité de résidence : 157,73 Euros mensuels ou 1034,64 Frs mensuels
indemnité de fonction défiscalisée :1.353,88 Euros mensuels ou 8880,87 Frs mensuels
indemnité de frais de mandat :6.112 Euros mensuels ou 40092,09 Frs mensuels
indemnités pour collaborateurs : 8.553 Euros mensuels ou 56104 Frs mensuels
indemnité de téléphone et courrier : 6.610 Euros mensuels ou 43358,75 Frs mensuels
indemnité de présidence de conseil régional :5.227,22 Eurosmensuels ou 3 4288,31 Frs mensuels
facilité SNCF : carte de circulation en 1 ère classe (40 A-R Paris-circonscription)

hollandeFrançois Hollande
-Député de Corrèze
- Maire de Tulle (16.000 hab.)

indemnité parlementaire :5.257,58 Euros mensuels ou 34487,46 Frs mensuels
indemnité de résidence : 157,73 Euros mensuels ou 1034,64 Frs mensuels
indemnités de fonction défiscalisée : 1.353,88 Euros mensuels ou 8880,87 Frs mensuels
indemnité de frais de mandat : 6.112 Eurosmensuels ou 40092,09 Frs mensuels
indemnité pour collaborateurs :8.553 Euros mensuels ou 56104 Frs mensuels
indemnité de téléphone et courrier :6.610 Euros mensuels ou 43358,75 Frs mensuels
indemnité de maire de ville moyenne : 2343,24 Euros mensuels ou 15370,64 Frs mensuels
facilité SNCF :carte de circulation en 1ère classe (40 A-R Paris-circonscription)

NB : les deux indemnités de parlementaire et de président de conseil régional ou de maire se cumulent dans la limite de 1 fois et demi celle du député, mais il faut bien sûr rajouter les autres indemnités de frais diverses ci-dessus, plus les avantages en nature liés aux fonctions de présidence ou de maire, voitures avec chauffeurs, prises en charge diverses, etc.

Total (hors autres rémunérations)

- Ségolène ROYAL : 30.672,98 Euros mensuels bruts de revenus et d’indemnités diverses pour ses activités d’élue, salaires des collaborateur(s) de l’Assemblée nationale compris, somme à laquelle il faut rajouter les avantages en nature liés ses fonctions de Présidente du Conseil Régional.

- François HOLLANDE : 30.387,43 Euros mensuels bruts de revenus et d’indemnités diverses pour ses activités d’élus, salaires descollaborateur(s) de l’Assemblée nationale compris, somme à laquelle il faut rajouter les avantages en nature liés ses fonctions de Maire.

les_riches_du_PSSoit une somme globale brute de 61.060,41 Euros par mois (plus de 400.000 FRF par mois quand même… financés par les impôts des citoyens) soit 732.724 euros annuels (4.806.360 francs par an, base année 2005) pour le couple Ségolène ROYAL - François HOLLANDE (qui “n’aime pas les riches”, crie haro ! Sur ceux qui gagnent 4.000 Euros et veut massacrer fiscalement les classes moyennes).

Avec des rentrées d’argent à la fin de chaque mois de plus de 400.000 FRF - 61.060 Euros - et étant imposés l’ISF comme tous les “richards du pays”, Ségolène ROYAL et François HOLLANDE sont-ils bien les mieux placés pour venir faire les kakous populaires ? Avec de tels revenus et un tel patrimoine, on ne s’étonne pas que Ségolène ROYAL ait refusé d’inscrire son cher enfant dans une école du 19ème arrondissement de Paris…Trop pauvre , ils ne paient pas l’ISF là-bas…

Sources :
-Politique.com
-Yahoo actualité

9 mars 2007

Besançenot vient de mettre son véto et refuse de m’affronter.Il veut bien n’importe qui du FN mais pas moi !

alain_soralIl n’a sûrement pas l’autorisation du système en place ? QUELLE COURAGE ! (LBS)

Camarades, Voilà la preuve de mon invitation... Besançenot vient de mettre son véto et refuse de m’affronter. Il veut bien n’importe qui du FN mais pas moi ! Je suis à votre disposition pour expliquer pourquoi... AS.

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9 mars 2007

Avec des pincettes… - Les sondages

sondageAlors que François Bayrou voit son ascension dans les intentions de vote se poursuivre dans les dernières enquêtes d’opinion, Marine Le Pen a affirmé « ne pas y croire beaucoup », « quelqu'un qui prend 14 points en l'espace d'un mois cela fait cinq millions d'électeurs » a-t-elle relevé. D’autant que l’incertitude des Français sur le bulletin qu’ils glisseront dans l’urne le 22 avril reste très grande en cette période de pré-campagne officielle. Selon les chiffres de l'institut CSA, publiés dans Le Parisien le 7 mars, près d'un Français sur deux (45 %) indique ne pas avoir choisi pour qui il votera au premier tour de la présidentielle. Un taux en hausse de 23 points par rapport à 2002. Relevons encore que selon une enquête de l'IFOP, réalisée du 22 au 25 janvier, 57 % des Français estiment que les sondages ne sont pas « un moyen d'information utile pour comprendre la vie politique ». Et 78 % des personnes interrogées jugent que « les médias font parfois dire n'importe quoi aux chiffres issus des sondages ». Dans ce contexte Ségolène Royal a déclaré « que Jean-Marie Le Pen est très sous-évalué dans les sondages », le Premier secrétaire du PS François Hollande affirmant que le président du FN « est à peu près au même niveau, voire supérieur à celui de 2002 ».

9 mars 2007

Sous la pression - Les maires

mairieMarine Le Pen a tenu à indiquer que « M. Sarkozy ne nous fait aucun cadeau. Il dit tout simplement ce qui est normal pour que la démocratie fonctionne. Ce qui a été anormal, c'est ce qui s'est passé depuis des années avec un système de parrainages ». Invitée de France Info mercredi, la directrice stratégique de la campagne a relevé que pour l’instant « on a enregistré les parrainages que nos militants sont allés chercher sur le terrain : nous n'avons rien ressenti de particulier à la suite de cette déclaration ». Mais « il y a une pression qui existe, la preuve c'est que quelque part un certain nombre de maires attendraient l'autorisation d'un président d'un grand parti pour effectuer cet acte administratif que le législateur leur a confié ». Interrogée sur le piratage du fichier des maires, la vice-présidente du FN s'est dite « persuadée que les services de police vont trouver le voleur et le receleur, celui qui a bénéficié de ce piratage et qui s'est servi de notre liste de parrains à son bénéfice ». « J’espère que nous arriverons à déterminer qui a commis cette vilénie » puisqu' « il y a toujours une complicité interne » dans ce genre d’affaire.

9 mars 2007

Contre la montre - Les signatures

signaturesUne véritable course contre la montre : la mobilisation de l’appareil frontistes ne se relâche pas pour obtenir, d’ici le 16 mars, les quelques 80 signatures qui, à l’heure où nous écrivons ces lignes, manquent encore à Jean-Marie Le Pen pour pouvoir se présenter le 22 avril au suffrage des Français. Louis Aliot, rapportait Le Figaro mercredi, explique qu’au « Paquebot » « une quarantaine de personnes reviennent à la charge auprès des maires en les appelant au téléphone. Elles font valoir que, selon Nicolas Sarkozy, Jean-Marie Le Pen doit pouvoir défendre ses idées dans la compétition présidentielle ». Louis Aliot est allé (mardi 6 mars) au Conseil constitutionnel apporter les formulaires arrivés ces derniers jours, le directeur adjoint de la campagne relevant « que quelques maires appellent de leur propre chef pour proposer leur parrainage », « le coup du piratage (au siège du FN du fichier des promesses de maires) a déclenché un certain nombre de choses ». Fernand Le Rachinel a observé pour sa part que l’effet de l’appel de Nicolas Sarkozy en direction des maires sans étiquette pour qu’ils parrainent Jean-Marie Le Pen est encore difficile à jauger, sachant que l'UMP « n'a d'influence que sur les maires encartés... Sur les autres, c'est plus difficile ». « En principe, cela devrait favoriser la collecte, mais dans la pratique, si l'appel en reste là, cela ne devrait pas changer grand-chose, cela serait différent si les acteurs de l'UMP s'impliquaient vraiment au profit de Le Pen » a affirmé de son côté Oliver Martinelli, directeur de cabinet de Jean-Marie Le Pen. Au cours de sa visite au Salon de l'agriculture, le président du FN a précisé qu’il « ne (demandait) pas l'opinion politique des maires qui signent pour (lui) ». « Toute signature est bonne à prendre, quelle qu'elle soit, celle d'un communiste, d'un extrême droite ou d'un UMP. »

9 mars 2007

La relève - Salon de l'agriculture

salon_agricultureJean-Marie Le Pen s’est rendu mardi, comme chaque année, au Salon de l’agriculture, en compagnie de Marine Le Pen et de Jean-Claude Martinez, député européen frontiste spécialiste des questions agricoles. Nouvelle occasion pour le candidat de l’Union patriotique de rendre visite à un monde rural qu’il est le seul a défendre contre les ravages de la politique euromondialiste et d’y décliner ses propositions pour « permettre à nos paysans de passer le cap de la nuit agricole européenne ». Notamment « la création d'un fonds d'intervention pour les campagnes comme il existe un fonds d'intervention pour la ville » ou l'institution de droits de douane « modulables, remboursables, négociables et bonifiables » théorisé par Jean-Claude Martinez. « Demain se lèvera le matin des paysans » a-t-il pronostiqué puisque face à l’explosion démographique des pays du sud, « paysan va redevenir le grand métier d'avenir ». Pour peu que les éradicateurs bruxellois n’est pas fait mourir notre agriculture d’ici là, avec la complicité des eurocrates des partis du Système….Si 10% des agriculteurs avaient voté Le Pen en 1995, ils étaient 22% en 2002 et cette popularité croissante du président du FN s’est vérifiée lors de sa visite des stands où les journalistes qui l’accompagnaient ont relevé, à l’instar d’Olivier Pognon dans Le Figaro, qu’il a été « partout accueilli avec courtoisie », multipliant photos, autographes, accolades et poignées de main sous les encouragements.

9 mars 2007

Capacité d’indignation

lh2Le Canard Enchaîné s’en est ému, les deux enquêtes successives publiées dans ses colonnes (pointant pour l’une les conditions incroyablement avantageuses dont aurait bénéficié Nicolas Sarkozy pour l’achat de son appartement, pour l’autre le fait que le couple Royal-Hollande aurait sous-estimé son patrimoine pour échapper à 5000 euros d’impôt sur la fortune) ont été très mollement reprises par ses confrères de la presse écrite ou audiovisuelle. « Dans d’autres contrées la moitié de ce que Le Canard a révélé suffirait à renvoyer un prétendant (à la Présidence de la République) à ses occupations domestiques » relevait ce journal dans sa dernière édition. Cité par le quotidien gratuit 20 minutes, François Miquet Marty, directeur de l’institut de sondage LH2 observe que « les intentions de vote des candidats ne pâtissent pas des affaires. La critique du personnel politique est si forte que les gens ne les estiment pas plus condamnables que les autres » ; la preuve en effet du terrible discrédit qui frappe les caciques de l’Etablissement. Mais l’électorat patriote garde toute sa capacité d’indignation active, M. Miquet Marty soulignant « que le seul candidat à tirer parti des scandales reste le réceptacle inégalé du vote protestataire : Jean-Marie Le Pen ».

8 mars 2007

Un ministre socialiste parle comme Le Pen

John_ReidCommuniqué de Jean-Marie Le Pen

Le ministre britannique de l’Intérieur, le travailliste John Reid, déclare que l’immigration illégale est « injuste », parce qu’elle « sape le droit des travailleurs britanniques, vole l’argent du contribuable en utilisant des allocations, des services publics, fournis par les contribuables britanniques pour les Britanniques ». En conséquence, il veut donc interdire « l’accès aux avantages de la Grande-Bretagne » à ceux qui entrent dans le pays illégalement.

Nous n’avons pas entendu la « blairiste » Ségolène Royal, ni aucune autre personnalité de droite ou de gauche, dénoncer ces propos, qui sont pourtant stigmatisés comme xénophobes lorsque c’est Le Pen qui les tient.

J’attire l’attention des Français sur cet accord parfait entre un ministre socialiste britannique et le candidat national à la présidentielle française.

Il tient au fait qu’il ne s’agit pas d’idéologie, mais simplement de bon sens, de défense de la patrie et du bien commun, qui sont les fondements de l’action politique, mais qui manquent tragiquement à mes concurrents.

7 mars 2007

Franchir l’obstacle

Jean-Marie Le Pen était lundi 5 mars l’invité de France Inter. Questionné sur sa quête des 500 parrainages, le candidat de l’Union patriotique a déclaré qu’il ne pouvait affirmer qu’il pourra se présenter aux suffrages des Français, « cela dépend des maires et de leur courage ». Alors que Nicolas Sarkozy et plusieurs de ses proches ont déclaré ces jours derniers que Jean-Marie Le Pen devait obtenir les signatures nécessaires, le président du Front National a dit ne pas réclamer de coup de pouce du parti sarkozyste, notant que c’était « à chacun de voir ce qui est son intérêt ». « Je me féliciterai surtout que les maires prennent la dimension de leur responsabilité dans cette affaire », à l’heure ou l’ensemble de l’appareil frontiste est mobilisé pour réunir les précieux paraphes. Questionné sur l’ascension du candidat de l’UDF dans les sondages, Jean-Marie Le Pen a déclaré n’être « pas sûr » que ceux-ci « reflètent la réalité », sachant que beaucoup d’électeurs frontistes dissimulent leur choix ; « ma conviction c’est que je suis au dessus de 20% » a-t-il affirmé.

7 mars 2007

Etat des lieux

parrainagesInterrogée sur Canal Plus le même jour sur les parrainages – voir plus loin – Marine Le Pen a confirmé que le FN avait bien été victime d’une « intrusion informatique » pour pirater le fichier des maires qui avaient promis leur signature mais que la vérité sur l’initiateur de ces manœuvres anti-Le Pen allait certainement bientôt sortir du puit… Si par malheur Jean-Marie Le Pen n’est pas candidat « nous serons la risée du monde démocratique » a-t-elle ajouté, invitant les personnalités de l’UMP ayant déclaré qu’il fallait que le président du FN puisse se présenter à mettre leurs paroles en conformité avec leurs actes. Présent pour sa part le 5 mars sur le plateau des « Quatre vérités » sur France 2, Louis Aliot a estimé que les électeurs « sanctionneront » les partis dits de droite si Jean-Marie Le Pen n’avait pas ses signatures. Le directeur adjoint de la campagne a rappelé qu’une « vingtaine de plaintes ont été déposées suite aux pressions directes exercées sur des petits maires ruraux, par le biais du téléphone émanant d’anonymes ou de représentants de M. de Villiers ». « J’espère qu’ils seront punis sérieusement », d’autant que des maires ont témoigné des pressions qu’ils ont subi. Reste qu’à l’heure actuelle, « la situation est préoccupante », Louis Aliot affirmant en outre que « tous les courants, de la droite nationale à l’extrême gauche » doivent être présents à cette élection présidentielle.

7 mars 2007

Le Pen, « un homme libre », « pas si mal placé »

Barre_RaymondSur France Inter Jean-Marie Le Pen a été également invité à donner son avis sur les propos de l’ex-Premier ministre et ancien maire de Lyon Raymond Barre qui, invité le 1er mars sur France Culture, a soulevé la colère du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), en évoquant un « lobby juif » « capable de monter des opérations indignes » et qui a pris la défense de Maurice Papon. « M. Barre est un homme libre et responsable, chacun de nous est dans cette situation, j’assume mes propos, chacun assume les siens » a de prime abord relevé le président du FN. Sur le terme de « lobby » employé par M. Barre, Jean-Marie Le Pen a observé qu’ « il existe des réactions qui peuvent porter les gens à avoir les mêmes attitudes ou à s’inventer les mêmes adversaires » ; il a jugé également que Papon avait été plus « un bouc émissaire » qu’un responsable dans l’affaire de la déportation des juifs. Interrogé ensuite sur ses plaisanteries verbales, jugées indignes par les bien-pensants du microcosme, le candidat de l’Union patriotique a souligné qu’il était « un homme libre », que ses bons mots étaient « l’expression libre d’une pensée libre ce qui est très interdit dans notre pays où chaque propos, surtout quand il émane d’un adversaire politique national, est l’objet de commentaires plus ou moins haineux ». « Quand je suis vilipendé dans les journaux, tout le monde trouve cela normal ; quand j’avance une plaisanterie (on me le reproche) pendant 20 ans ». « La liberté est chère en France » a-t-il poursuivi, évoquant les peines financières très lourdes qui l’ont frappé, relevant que ses propos sont infiniment « plus propres » que « l’affaire du sang contaminé » ou encore les turpitudes et autres prévarications dont se sont rendus coupables les caciques du Système. Interrogé en fin d’émission sur ses chances d’être élu, Jean-Marie Le Pen a noté que ce sont les électeurs qui en décideront et non « les sondeurs », « les journalistes » ou « les politologues ». Et face aux candidats de l’Etablissement, « Je ne me crois pas si mal placé que cela, car j’ai toujours dit la vérité aux Français même si elle n‘est pas toujours agréable à entendre ! ».

7 mars 2007

Du dossier Airbus à la crise européenne

Airbus_line_up_DSC_0054Interrogé sur le dossier Airbus, alors que 10 000 emplois en Europe, dont près de la moitié en France, vont être supprimés, Jean-Marie Le Pen a de prime abord noté que « toutes les occasions sont bonnes pour témoigner de la compassion des candidats quel que soit le sujet ». « Laissons les gens d’Airbus essayer de trouver les solutions » pour sortir de la crise, le fiasco actuel découlant pour une large part de la direction bicéphale franco-allemande a-t-il souligné, comme l’a fait Marine Le Pen le même jour, invitée de la « Matinale » sur Canal Plus. La directrice stratégique a affirmé que nous payons aussi dans cette affaire « la politique de l’euro fort de la Banque centrale européenne » (BCE), « la parité euro dollar ». Elle a observé au passage qu’à l’instar de Jean-Marie Le Pen, « l’ancien patron d’Airbus a même regretté que nous n’ayons plus notre souveraineté monétaire ». « La politique de la BCE ruine notre pays, si l’Europe veut aller dans le mur elle ira sans nous », mais l’UE peut aussi « changer de politique » car la France n’est pas la seule à en subir les conséquences a-t-elle ajouté. Et au moment ou Mme Royal affirme qu’il s’agirait de renationaliser Airbus, Marine Le Pen a rappelé que c’était sous le gouvernement Jospin, que Dominique Stauss-Kahn a privatisé Airbus, relevant « le manque de cohérence » de la candidate socialiste… Pointant également les ratés de la direction d’Airbus - non maîtrise des coûts et des délais dans les grands projets comme l’A 380 et l’A 350- la directrice stratégique de la campagne a estimé que l’Etat pourrait mobiliser de nouveaux investisseurs français. Il s’agirait notamment d’inciter les banques - via leur fond d’investissement - à éventuellement participer au capital d’Airbus. Mais ce n’est certainement pas le rôle des « régions » comme le veulent les socialistes, dans lesquelles les impôts ont augmenté de manière vertigineuse, Conseils régionaux qui ne disposent d’ailleurs « que de l’argent des contribuables ». Enfin, au moment où le trio Royal-Sarkozy-Bayrou propose soit de faire revoter les Français sur la Constitution européenne par un référendum, soit de la promulguer en faisant passer ce texte devant l’Assemblée nationale, sachant que 92% des députés étaient pour le OUI en 2005 et 55% des Français pour le NON, Marine Le Pen a affirmé qu’il fallait respecter le NON des Français : « NON c’est NON, ou alors nous ne sommes plus en démocratie, mais dans une République bananière ». Il faut réfléchir à la mise en place d’une autre Europe, a-t-elle plaidé, « une Europe des nations, des souverainetés, des coopérations ».

6 mars 2007

Lettre de Roger HOLEINDRE à Estelle DENIS (M6)

estelle_denisMadame,
Le dimanche 4 mars 2007 à 17h30, j’ai regardé votre émission « 5 ANS AVEC… » où vous étiez censée avec Madame Anne-Elisabeth Lemoine et Monsieur Bernard de la Villardière, recevoir pour une interview Monsieur Jean-Marie Le Pen, Président du Front National et candidat à l’élection présidentielle.

Dès le début de cette émission, j’ai vu à votre sourire sur un beau visage et à la lueur de vos yeux, que vous prépariez un traquenard au président du Front National. Je n’ai pas été déçu. Pas plus que par Madame Anne-Elisabeth Lemoine et le pitoyable Bernard de la Villardière qui s’est cru obligé dans la partie de l’émission qui lui était réservée, de répondre lui-même très, très longuement et très laborieusement aux questions qu’il avait très mal posées au leader du Front National, bafouillage minable et incompréhensible.

La connivence qui ressortait de cette émission entre vous et vos deux faire-valoir sautait aux yeux de tous les téléspectateurs et le clin d’œil que vous fîtes, à un moment donné, à vos deux comparses, expliquait exactement la teneur de cette rencontre où vous aviez certainement expliqué en long, en large et en travers aux gens de la chaîne et à vos amis… que, le Le Pen… vous alliez vous le faire ! Allant même, pour cela, jusqu’à ressortir la minable « affaire » Durafour Crématoire qui ne date jamais que de 20 ans…

C’est toujours l’espoir des minables et des nuls !

Chère madame, vous n’avez rien fait du tout. Vous avez simplement donné un spectacle lamentable de flic de la pensée, travail qui n’a rien à voir avec la déontologie de votre métier, ni avec la charte des journalistes.

Suivant votre exemple et celui de certains de vos confrères, hommes ou femmes, la grande majorité des jeunes, voire très jeunes journalistes, lâchés dans la nature par des directeurs de journaux qui ne sont plus en fait que des marchands de papiers sans scrupules, se conduisent comme des « fouilles merde », des détourneurs de phrases, des coupeurs de textes… et deviennent des spécialistes de la mise en exergue d’un mot sorti de son contexte.

Ils font cela sans aucun état d’âme, car ils sont ignares, ne connaissent rien à l’histoire de France, pas plus d’ailleurs qu’à l’histoire du monde… totalement inhibés qu’ils sont d’idées toutes faites… mais politiquement correctes.

Ancien Grand reporter à Paris-Match pendant de très longues années, j’ai essayé de faire ce métier avec sérieux et je crois une certaine compétence, puisque les archives de ce journal où j’étais un des mieux payé, prouvent amplement la qualité de mes reportages dont la plupart étaient revendus dans le monde entier.

Je m’honore d’avoir été journaliste et pas « flic » et de n’avoir jamais fait les poubelles, comme heureusement certains reporters qui, aujourd’hui encore, honorent ce métier difficile.

Le plus grotesque de votre prestation fut la partie réservée à Monsieur de la Villardière, d’autant plus honteuse que ce monsieur contestait les déclarations de Jean-Marie Le Pen sur les méfaits de l’immigration incontrôlée, alors que le soir même sur la même chaîne à 23 heures, il présentait une enquête exclusive… Cayenne : le nouveau « Far West » français, où pendant plus d’une heure d’horloge, il démontra que tout ce que nous disons sur ce sujet, tout ce que contient le programme de Jean-Marie Le Pen, était exact !

Monsieur de la Villardière semble avoir oublié tout cela en contestant à 17h40 ce que Jean-Marie Le Pen dit depuis plusieurs décennies. Son enquête exclusive à 23h00 donnait de Cayenne l’image d’un tas d’ordures, d’un dépotoir, d’un cul-de-basse-fosse peuplé de zombis et de drogués… Mais aucune image des quartiers de la ville corrects et bien tenus, des lycées, des collèges, des gens qui travaillent et vivent normalement. Soutenir le laxisme mais en attribuer exclusivement les maux à la France marâtre plus qu’aux hommes politiques, cela s’appelle du travail à la Goebbels, bien digne de la propaganda staffel, de triste mémoire.

A force de vouloir trop prouver et en traitant Jean-Marie Le pen différemment de vos autres invités, à qui vous ne manquez pas de « cirer les pompes », vous n’avez fait, une fois de plus, que donner raison à cet homme politique et à tous les simples militants, qui ont pu voir le soir même ce que le laxisme, le manque de volonté et de courage politique et le laisser-aller qu’ils dénoncent avec constance, peuvent faire d’un département Français, fut-il d’Amérique.

Veuillez croire, Madame, à l’assurance de ma considération attristée.

Roger HOLEINDRE
Président du Cercle National des Combattants

5 mars 2007

A propos de l’initiative du conseiller général UMP André Danet

les_boulesCommuniqué de Jean-Marie Le Pen

Jean-Marie Le Pen salue l’initiative du conseiller général UMP André Danet qui lui apporte son parrainage et invite ses amis et collègues à faire de même.

Il salue également l’appel de l’UMP aux élus non membres de partis politiques pour qu’ils parrainent les candidats qui n’ont pas encore réuni les 500 signatures.

Parfaitement conscient des vraies raisons de ce soudain empressement démocratique, qui résulte en fait des savantes analyses électorales de Nicolas Sarkozy, il se félicite néanmoins que soit ainsi mis en évidence l’absurdité d’un système que le gouvernement UMP avait tout loisir de réformer mais qu’il a laissé perdurer et qu’il voit aujourd’hui se transformer en boomerang.

4 mars 2007

Dilemme électoral

randa_head_01Comment continuer à se proclammer les défenseurs acharnés de cette démocratie à la française, patrie des droits de l’homme, que le Monde entier, certes, ne nous envie parfois que très modérément… tout en tripatouillant sans cesse le jeu électoral afin de s’assurer un monopole de fait à chaque élection ?

C’est le grand dilemme que se posent aujourd’hui les cadors de l’UMP et du PS. L’affaire des signatures se retournent de tous les côtés de l’échiquier politique contre ces deux monstres politiques.
La solution appartiendrait, comme avant chaque élection présidentielle, aux dizaines de milliers de maires de villages sans étiquette. Ce qui exaspère Gérard Pelletier, le président de l’Association des maires ruraux : « Ces ministres qui veulent nous donner mauvaise conscience, je trouve ça un peu fort de café. Moi, jamais je ne signerai pour un candidat que je ne veux pas soutenir. Nous sommes arrivés au bout du bout de ce système. Il va falloir le changer », grognait-il vendredi sur France Info.
Qu’un Olivier Besancenot hurle au scandale après l’oukase imposé par la direction socialiste à ses élus de ne parrainer que sa royale candidate, pourrait faire sourire. N’est-ce pas l’extrême gauche qui n’a eu de cesse de diaboliser les maires qui accordaient leurs parrainages à Jean-Marie Le Pen, n’hésitant pas à les harceler médiatiquement pour avoir simplement joué le jeu démocratique ?
Besancenot, Bové, voire même Voynet, qui se plaignent de ramer pour obtenir les précieux ausweis de notre démocratie quelque peu totalitaire, ne sont en l’occurrence que des « arroseurs arrosés ». On peut en sourire, certes, mais leur absence éventuelle à la campagne électorale serait néanmoins tout aussi scandaleuse que celle du leader du Front national, du vicomte de Villiers ou encore de l’écologiste Antoine Waechter… alors même qu’une Marie-George Buffet serait présente au nom d’un Parti communiste qui ne survit que par charité électorale socialiste.
L’absence d’un Le Pen, d’un Besancenot, d’un Bové ou d’une Voynet causeraient ce qu’il est pudiquement convenu de nommer des « dommages collatéraux » comme on dit de ces bombes qui tombent là où elles n’étaient pas prévues.
Et l’ennui, c’est qu’on peut difficilement s’en prémunir. Les médias français nous rabattent les oreilles depuis des mois que l’élection présidentielle française serait au contraire un modèle de « frappe électorale » avec la confrontation programmée Sarkozy-Royal.
À quelques jours de la date fatidique de dépôt des parrainages, à 18 heures le 16 mars, les états-majors de l’UMPS se rendent brusquement compte que le danger serait bien plus grand pour l’une comme pour l’autre d’une démocratie confisquée, non plus par la « bande des quatre » d’antan, mais désormais par le monstre électoral à deux têtes : l’abstention déjà terriblement importante ferait sans doute un bond terrible, si terrible qu’on pourrait s’interroger sur la légitimité du vainqueur si elle dépassait les 50 %.
En effet, imagine-t-on un des candidats interdit de participation présidentielle, appeler à voter pour l’un de ceux qui en a été la cause ?
Les cocus ont rarement vocation à tenir la chandelle.

Philippe Randa - La Chronique

3 mars 2007

Giscard et la Constitution européenne

giscardValéry Giscard d’Estaing a évoqué la Constitution européenne devant les étudiants de l’université de Georgetown à Washington.

« Pour achever la ratification, il serait nécessaire pour les deux Etats qui ont dit non de changer leur position », a-t-il déclaré. La France et les Pays-Bas seront donc bien obligés de s’aligner sur les autres. « Il faut vraiment que la France clarifie sa position et ne demande pas aux autres de clarifier la leur, qui est généralement claire. » Mais il faut attendre les élections. Après, il faudra « un délai approprié pour permettre aux gens d’avoir le sentiment que le texte est examiné minutieusement et que toutes les observations sont faites ». Une fois qu’on leur aura inculqué ce sentiment, on fera voter le traité par le Parlement, parce que, « pour un texte de cette nature, un processus parlementaire est plus adapté », et ce fut « probablement une erreur de l’avoir soumis à référendum ».

Mais Giscard n’oublie pas que d’autres pays, qui ont gelé le processus de ratification, sont hostiles à la Constitution européenne. Et le voilà qui suggère que certains pays comme la Grande-Bretagne ou la République tchèque puissent rester en dehors du traité constitutionnel comme certains pays restent en dehors de la monnaie unique...

Et alors pourquoi pas la France, qui a ouvertement et clairement dit non ?

2 mars 2007

Marie-Ségolène Royal du PS jugée par les siens

claude_allegreClaude ALLEGRE (Ancien ministre de François Mitterrand) 

« A vrai dire, les idées saugrenues de Ségolène que les Français découvrent chaque jour, j'en ai soupé. Un jour, elle déboule dans mon bureau avec un projet d'arrêté qu'elle voulait me faire signer. Il s'agissait d'interdire les strings au collège. Je lui ai dit que je ne voulais pas me couvrir de ridicule, elle est repartie vexée. Le lendemain, elle voulait suspendre le directeur des Arts et Métiers parce qu'il n'avait pas supprimé le bizutage, etc. Mais jamais ses idées ne concernaient la pédagogie, l'égalité des chances ou une réforme quelconque de fond. C'étaient toujours des gadgets d'autopromotion... »

Ségolène ROYAL n'est "capable n'y de gagner, n'y d'être Président de la République".

Parlant de Ségolène ROYAL. « Elle ne travaille pas. Quand elle était avec moi au ministère, elle ne contrôlait rien. Les nominations d'enseignants partaient dans tous les sens. Un jour, à cause d'elle, je me suis fait remonter les bretelles par Jospin et Strauss-Kahn.

Avec ça, elle est intraitable pour le personnel. A son cabinet, ça valsait. Elle a changé trois fois de chauffeur. Après mon départ, elle est passée sous la coupe de Martine Aubry, qui se plaignait d'elle tout le temps. »

Alain_ETCHEGOYENAlain ETCHEGOYEN (Ancien conseiller de Claude Allègre au ministère de l'Education Nationale)

Il vient de publier "Votre devoir est de vous taire". Il consacre un chapitre à ses relations avec Ségolène Royal, "une expérience qui restera parmi les deux ou trois plus décevantes et plus pénibles que j'ai faites dans ma vie politique". Il dénonce un personnage "parasité par les questions d'image, qui l'obsèdent" et la difficulté de travailler avec elle "J'ai toujours eu du mal à aborder les questions de fond avec Ségolène Royal qui ne pensait qu’à faire des coups".

Jean_Paul_HUCHONJean-Paul HUCHON (Président du Conseil Régional d'Ile-de-France, socialiste)

S'exprimant sur la proposition de Ségolène Royal de créer "des jurys de citoyens", il a estimé que " cette idée, c'est le mariage de Gringoire, Je suis partout et du Petit Livre rouge de Mao". (Le Parisien, 06.11.06)

Michel_CHARASSEMichel CHARASSE (Ancien ministre, Sénateur du Puy-de-Dôme, socialiste)

"Les propositions de Mme Royal sont peut-être au premier abord populaires, mais si on réfléchit un peu on voit que le paquet est plus beau que le cadeau"

Julien_DRAYJulien DRAY (Député de l'Essonne, socialiste et partisan de Ségolène ROYAL)

A l'issue du meeting au Zénith où Ségolène ROYAL a été chahutée par les militants :

« Qu'est ce que tu veux que je te dise ? Elle a franchement été nulle. Nulle, je te dis, elle a été nulle ! » (Le Canard Enchaîné, 01.11.06)

Andr__LAIGNELAndré LAIGNEL (Secrétaire général de l'Association des maires de France, Maire d'Issoudun, Député européen, socialiste)

S'exprimant sur la proposition de Ségolène Royal de créer "des jurys de citoyens", il a estimé que celle-ci se situait "dans la veine de l'antiparlementarisme le plus sommaire". Par cette proposition, "Mme Royal fait reculer les frontières de la République".

Max_GALLOMax GALLO (Historien, ancien ministre de François Mitterrand)

S'exprimant sur la proposition de Ségolène Royal de créer "des jurys de citoyens", "on a la Révolution culturelle du président Mao, qui voulait « tirer sur le quartier général » et faire juger les professeurs et tous les représentants par le peuple, représenté par les militants qui viennent juger et condamner ceux qui sont élus".

Claude_BARTOLONEClaude BARTOLONE (Ancien ministre, Député de Seine-Saint-Denis, socialiste)

S'exprimant sur la réponse que Ségolène ROYAL a faite à propos de l'entrée éventuelle de la Turquie dans l'Union européenne («Mon opinion est celle du peuple français»), il déclare "Avec un raisonnement comme cela, il y aurait encore la peine de mort, les innocents d'Outreau auraient été exécutés".

Jean_GLAVANYJean GLAVANY (Ancien ministre, Député des Hautes-Pyrénées, socialiste)

"La stratégie (du camp Royal) consiste à taxer de machos tous ceux qui critiquent Ségolène Royal".

Fran_ois_HOLLANDEFrançois HOLLANDE (Député de la Corrèze, Secrétaire national du Parti Socialiste)

A propos de Arnaud Montebourg, porte parole de Ségolène Royal,

« Montebourg je ne peux plus le supporter, pour moi c'est une baudruche gonflée de prétention et d'ambition » (Le Canard Enchaîné, 11.10.06)

Christophe_BARBIERChristophe BARBIER (Journaliste à l'Express)

Racontant ses impressions d'après interview avec Ségolène ROYAL

"[.] L'impression d'affronter un pot en acier: cela brille, tout glisse sauf ce qui fait tinter. C'est vide.""[.] Le pot d'acier se remplit de la pluie qui tombe.""[.] Inquiétante, décevante, percutante, glaçante, présente, troublante: l'énigme Ségolène."

Jean_Luc_MELENCHONJean-Luc MELENCHON (Ancien ministre, Sénateur de l'Essonne, socialiste)

Commentant une proposition de Ségolène ROYAL tendant à réformer le régime spécial de retraite des élus et parlementaires, il a accusé Ségolène Royal de se livrer à "de la démagogie pure». Et il poursuit "elle pourrait commencer par montrer l'exemple, s'il s'agit d'abolir les privilèges" [.] "et elle pourrait annoncer par exemple qu'elle renonce à sa retraite de fonctionnaire, parce qu'elle, elle va cumuler à l'âge de la retraite, la retraite de parlementaire et une retraite de fonctionnaire".

"Les gens qui veulent donner des conseils devraient commencer par se les appliquer à eux-mêmes et laisser les autres qui vivent tranquillement vivre leur vie".

Laurent_FABIUSLaurent FABIUS (Ancien Premier ministre, Député de Seine-Maritime, socialiste)

"Je préfère dire : « Voici mon projet », plutôt que : « Mon projet, c'est Voici ! »

AF Picardie

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